Logis du haut-Koenigsbourg

Logis du haut-Koenigsbourg
Appartements de vacances de qualité. Calme, charme et confort en Alsace, France. Soyez reçu comme un hôte attendu et confiez votre sommeil aux professionnels de l’hébergement engagés dans la qualité et soucieux de votre bien-être.

Logis du Haut-Koenigsbourg

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Das Logis Du Haut-Koenigsbourg...

Das Logis Du Haut-Koenigsbourg bietet eine Unterkunft in Thannenkirch im Elsass und befindet sich 49 km von Straßburg entfernt. Diese Unterkunft mit Bergblick befindet sich 25 km von Colmar entfernt. Die Privatparkplätze an der Unterkunft nutzen Sie kostenfrei.
Die Unterkunft bietet Apartments zur Selbstverpflegung und ein Ferienhaus. Jede Unterkunft verfügt über eine Küche. WLAN nutzen Sie in allen Bereichen des Logis Du Haut-Koenigsbourg kostenfrei.
Freiburg im Bresgau liegt 47 km vom Logis Du Haut-Koenigsbourg entfernt und von Gérardmer trennen Sie 38 km. In der Umgebung bieten sich zahlreiche Freizeitaktivitäten an, darunter Radfahren und Wandern. Der nächste Flughafen ist der 40 km von der Unterkunft entfernte Flughafen Straßburg.

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Logis Du Haut-Koenigsbourg offers accommodation situated in Thannenkirch in the Alsace Region and is 49 km from Strasbourg. The property features views of the mountains and is 25 km from Colmar. Free private parking is available on site.

The property provides self-catering apartments and a holiday home. Each includes kitchen facilities. Logis Du Haut-Koenigsbourg features free WiFi throughout the property.

Freiburg im Breisgau is 47 km from Logis Du Haut-Koenigsbourg, while Gérardmer is 38 km away. Guests can enjoy various activities in the surroundings, including cycling and hiking. The nearest airport is Entzheim Airport, 40 km from the property.

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El Logis Du Haut-Koenigsbourg ofrece alojamiento en Thannenkirch, en la región de Alsacia, a 49 km de Estrasburgo. Se encuentra a 25 km de Colmar. Goza de vistas a las montañas y proporciona aparcamiento privado gratuito.

Este establecimiento ofrece apartamentos independientes y una casa. Todos los alojamientos tienen instalaciones de cocina. El Logis Du Haut-Koenigsbourg cuenta con WiFi gratuita en todas las dependencias.

El Logis Du Haut-Koenigsbourg está a 47 km de Friburgo y a 38 km de Gérardmer. En las inmediaciones, los huéspedes pueden practicar actividades diversas, como ciclismo y senderismo. El aeropuerto de Entzheim, situado a 40 km, es el más cercano.

El Logis Du Haut-Koenigsbourg recibe clientes de Booking.com desde el 19 may 2015.
Casas y chalets: 10

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Logis Du Haut-Koenigsbourg(豪特科尼斯堡度假屋)

Logis Du Haut-Koenigsbourg酒店位于阿尔萨斯地区的Thannenkirch,距离​​斯特拉斯堡(Strasbourg)有49公里,享有山景,距离科尔马(Colmar)有25公里,设有免费内部私人停车场。

酒店提供自助式公寓和一座度假屋。每间住所都设有厨房设施。Logis Du Haut-Koenigsbourg酒店提供覆盖了各处的免费WiFi。

Logis Du Haut-Koenigsbourg酒店距离弗莱堡(Freiburg im Breisgau)有47公里,距离热拉梅(Gérardmer)有38公里。客人可以在周边地区享受骑自行车和远足等各种活动。酒店距离最近的机场 - 昂特赞机场(Entzheim Airport)有40公里。

豪特科尼斯堡度假屋于2015年5月19日开始在Booking.com上接受预订
度假屋:10栋
热门设施/服务

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Logis du Haut-Koenigsbourg

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Un château, une ville, une réserve naturelle,…les endroits pour s’émerveiller dans la région de Sélestat Haut-Koenigsbourg ne manquent pas !
Ouvrez les yeux, regardez, découvrez…tous vos sens sont en éveil.

UNE HISTOIRE DE COULEURS EN ALSACE
La région de Sélestat Haut-Koenigsbourg offre des paysages teintés de couleurs. À chaque couleur son ambiance et ses particularités ! À vous de les découvrir !
LE BLEU
… du massif et des Vosges en arrière-plan, un paysage vallonné fait de châteaux fort et de forêts. Vous y découvrirez notamment l’incontournable Château du Haut-Koenigsbourg, de la Montagne des Singes et de la Volerie des Aigles. Nulle part ailleurs il n'est possible en une seule journée de partir à l'assaut d'un château fort de montagne, d'approcher un macaque de Barbarie et voir voler des rapaces.

Pour les plus sportifs, de nombreux sentiers balisés invitent à la découverte et offrent de splendides points de vue sur la plaine.
La Vancelle - Kintzheim - Orschwiller

LE ROSE
...du grès des Vosges d’une petite église, ou le rose éclatant des géraniums aux balcons des maisons à colombages. Ici la couleur vous rappelle qu’il s’agit bien de l’Alsace pittoresque, celle de la Route des Vins et de ses villages fleuris.

Elle serpente au milieu du vignoble et des communes de Châtenois, Dieffenthal, Kintzheim, Orchwiller et Scherwiller. Au détour d’un sentier viticole, partez à la rencontre d’un vigneron et n’oubliez pas d’y déguster notre grand cru du Praelatenberg.

LE VERT
...des grandes pairies et vastes forêts à la flore riche et fragile. Un endroit à part dominé par une végétation luxuriante qui fait penser à une petite jungle, en plein cœur de la plaine d’Alsace. Cet espace naturel est celui du Ried, une région inattendue et surprenante. Le terme Ried est dérivé de l'alémanique "Rieth" qui signifie jonc (roseau). Il s'applique par extension aux paysages de prés inondables et de forêts à la végétation dense.

A découvrir lors d’une promenade dans l’Illwald, réserve naturelle régionale aux portes de Sélestat, ou de manière plus insolite à pieds nus sur le sentier SensoRied à Muttersholtz. Vous aimez la nature et les grands espaces, alors mettez-vous au vert !

Baldenheim - Ebersheim - Ebersmunster - Mussig

LE MARRON
…celui des vieilles pierres, témoins des siècles passés. D’art gothique, roman ou renaissance, c’est à Sélestat se trouve une exceptionnelle concentration de monuments, de styles et d’époques variés. Elle a d'ailleurs été labelisée Ville d'art et d'histoire. Les pas du géant Sletto et de son lion vous guideront pour une promenade faite de légendes et d’Histoire.

Ici les bâtiments anciens flirtent avec les plus modernes en parfaite harmonie. C’est ici que bat le cœur de la Région Sélestat Haut-Koenigsbourg.
Sélestat

ENVIES D’ALSACE
Tous les goûts sont en Alsace… L’Alsace se découvre du Nord au Sud, et d’Est en Ouest. En séjournant dans la région de Sélestat Haut-Koenigsbourg vous serez au coeur de la région et à proximité de nombreux sites touristiques incontournables !

Envie d’Alsace typique… ?
Rouge, bleu, jaune… les couleurs des maisons à colombages se déclinent au gré des ruelles enchanteresses du vieux Colmar et de sa petite Venise. Flâner au cœur de la Petite France, quartier pittoresque de Strasbourg où les maisons se mirent dans les eaux des canaux. Autre halte alsacienne par excellence, Ribeauvillé et Riquewihr, cités médiévales au cœur du vignoble, sur la Route des Vins d’Alsace. Plus beau village de France et village préféré des français en 2013, Eguisheim mérite également le détour.

Spécialités alsaciennes
Envie d’Alsace gourmande… ?
Bretzel, choucroute, bäckeoffe, foie gras, tarte flambée... un terroir aux mille saveurs qui sait régaler les papilles les plus délicates. A déguster sans modération, dans l’ambiance feutrée d’une petite winstub de la Route des Vins d’Alsace ou dans le cadre plus raffiné d’un restaurant étoilé.
La gastronomie alsacienne est généreuse !

Envie d’Alsace naturelle… ?
Étonnante par la diversité de ses paysages, entre Vosges, vignoble et plaine du Ried, l’Alsace recèle des trésors écologiques préservés comme l’Illwald Réserve Naturelle Volontaire Agréée du Ried de Sélestat ou encore la petite Camargue alsacienne. Prenez de la hauteur au Grand Ballon, point culminant alsacien, et admirez le panorama qui s’offre à vous ! Epoustouflant non ?

Envie d’Alsace active… ?
17 000 km de sentiers pédestres, 2 500 km de parcours cyclables, des parcs acrobatiques pour les plus téméraires, une multitude de cours d’eau pour une balade en canoë…l’Alsace est un fabuleux terrain de jeux adapté à tous types de sports. Parmi la myriade d’activités proposées, vous trouverez sans nul doute celle qui vous comblera !

Envie d’Alsace traditionnelle…
L’Alsace est une région riche de traditions. Réputés dans le monde entier, les Noëls alsaciens sont empreints de chaleur et d’authenticité.
Quand vient la période de Pâques, les Bredles (petits gâteaux) et Manala (brioche en forme de bonhomme) laissent place à l’agneau pascal (Lamala). De nombreuses fêtes ponctuent les saisons : carnavals, fêtes du vin, corso fleuri, fêtes folkloriques, les Alsaciens sont des bons vivants !
Votre séjour sera sans doute ponctué de : « salü bisàmme ! », « a güeter », « s’gilt », pas de panique, c'est juste un Alsacien qui vous salue ou vous souhaite un bon appétit en dialecte. Vous l’aurez compris l’Alsacien est fier de sa culture et de ses traditions, et prêt à les partager.

Bienvenue en Alsace, bienvenue chez vous !

LE CHÂTEAU DU HAUT-KOENIGSBOURG
Sur les hauteurs d’Orschwiller, son imposante silhouette domine toute la plaine : impossible de passer à côté d’un des monuments les plus visités d’Alsace.

Le château du Haut-Koenigsbourg offre un panorama grandiose et par beau temps il n’est pas rare d’apercevoir les Alpes…

Un château-fort du Moyen Age

Passer la haute porte du château du Haut-Koenigsbourg, c’est plonger dans l’univers du Moyen Âge.

Cour basse, forge, moulin, escaliers en colimaçon, pont-levis, salle d’armes, donjon et canons rappellent à chaque instant la vocation de cette forteresse de montagne.

Edifié au XIIème siècle, il a vu se succéder d’illustres propriétaires. C’est l’Empereur Guillaume II qui a décidé de le restaurer.

Remontez le temps et laissez-vous conter 900 ans d’histoire par Marguerite la nourrice, Ameline la sœur du forgeron, Florine l'apothicaire ou l'un des autres personnages tout droit sortis du Moyen Âge. Une expérience unique pour vous imprégner du quotidien et des particularités de la vie d'un château médiéval.

Saviez-vous que le château du Haut-Koenigsbourg inspire le 7ème art ?
Décor pour le film La Grande Illusion, mais aussi Les aventures d'Arsène Lupin de Jacques Becker, ou encore pour certaines scènes du film Agent trouble de Jean-Pierre Mocky.
Son ambiance si particulière fascine de nombreux artistes, à vous de vous laisser charmer par ce site incontournable en Alsace !

A voir aussi à proximité la Volerie des Aigles et la Montagne des Singes.


SUR LA ROUTE DES VINS D'ALSACE

Elle serpente sur 170 km du Nord au Sud de l’Alsace, au gré des couleurs de ses vignes et de ses 7 cépages (Riesling, Gewurztraminer, Pinot noir, gris ou blanc, Muscat et Sylvaner).

Sur ses coteaux, donjons et châteaux se dessinent, tandis que les villages aux maisons colorées et fleuries, se blottissent derrière leurs remparts.

Cépages et Grand Cru d'Alsace
Grand cru et appellations d’origine fleurissent tout au long du parcours. Prenez le temps de rencontrer les vignerons qui élaborent ces vins avec passion et savoir-faire.

Cinq communes de la région de Sélestat Haut-Koenigsbourg sont situées sur la Route des Vins :

Dieffenthal et son terroir

Scherwiller, haut lieu du Riesling et son appellation village AOC Alsace / Scherwiller pour son Riesling

Châtenois, AOC Alsace / Coteaux du Haut-Koenigsbourg

Orschwiller, qui possède l’un 51 grands crus alsacien, « le Praelatenberg » et une AOC Alsace / Coteaux du Haut-Koenigsbourg

Kinztheim , AOC Alsace / Coteaux du Haut-Koenigsbourg

Quand le vignoble révèle ses couleurs dorées et que vient la période des vendanges (septembre-octobre) c’est le moment de récolter le fruit de la vigne et de découvrir si elle a été généreuse…

Et si vous tentiez l’expérience grâce aux vendanges touristiques ?
Blanc, rosé, rouge ou effervescent, il y aura toujours un vin qui saura émoustiller vos papilles.


LA VOLERIE DES AIGLES

Ici buses, milans noirs, vautours et autres rapaces, sont les maîtres des lieux. Dans le cadre médiéval du château de Kintzheim, au cœur du vignoble d’Alsace, ils offrent un spectacle aérien époustouflant où l’émotion est grande, et les sensations fortes garanties.

Le vol en totale liberté des plus grands rapaces du monde vous permettra de mieux appréhender leurs comportements.

Pensez à bien baisser la tête !

La Volerie des Aigles a été créée en 1968, c’est la première en France consacrée à ces oiseaux dont beaucoup sont en voie de disparition.

Et si enfiliez le gant en cuir pour devenir fauconnier l’espace d’une journée d’exception ?

A découvrir aussi à quelques mètres de distance à vol d’oiseau de la Volerie des Aigles, la Montagne des Singes et le célèbre Château du Haut-Koenigsbourg.


A la découverte de la Montagne des Singes

Le parc de la Montagne des Singes accueille plus de 200 singes appelés aussi "Magots" qui vivent normalement dans les montagnes du Maroc et de l’Algérie.
Ils savent combattre le froid rigoureux des montagnes pendant l’hiver. Le corps de cet animal est adapté au rude climat de la période hivernale, mais il sait aussi apprécier la douceur du printemps et la chaleur de l’été en Alsace.
Ces singes ou macaques de Barbarie très attachants, vivent à présent dans ce parc en Alsace.
Pour les amateurs de photographies n’oubliez pas d’emporter avec vous votre appareil photo. Ils vont mettre vos talents de photographe animalier en exergue. Vous allez surprendre vos amis et votre famille avec vos instantanés illustrant les « pitreries » de ces singes qui ne demandent qu’à être photographiés.
C'est une expérience unique à vivre en famille. Vos enfants se souviendront longtemps de cette visite originale à vivre dans notre région.

Une expérience ludique et unique en Alsace !

Vous serez étonnés par la proximité incroyable avec ces singes qui n’hésitent pas à s’approcher de vous pour prendre dans votre main le pop-corn qui vous est offert à l’entrée.
Ces animaux particulièrement attachants sont très curieux et bien sûr vraiment gourmands.

Ces singes ont élu domicile dans une grande forêt de plus de 20 hectares et ce sont accoutumés à ce parc en Alsace. La vie qu'il mène ici se rapproche beaucoup de celle qu'ils avaient dans leurs montagnes d'origines.

Ne manquez pas aussi à proximité, la Volerie des Aigles et le château du Haut-Koenigsbourg.

DORMIR

Soyez reçu comme un hôte attendu et confiez votre sommeil aux professionnels de l’hébergement ou à des particuliers engagés dans la qualité et soucieux de votre bien-être.


ÜBERNACHTEN

Ihr elsässischer Gastgeber bereitet Ihnen stets einen exzellenten Empfang. Die Qualität Ihres Aufenthalts und Ihr Wohlbefinden stehen dabei stets an erster Stelle. Wählen Sie aus einer breiten Palette an Unterkunftsarten. Wir wünschen einen angenehmen Aufenthalt !

ACCOMMODATION

Enjoy a warm welcome and a good night's sleep when you stay with one of the region’s major professional accommodation providers, committed to ensuring that you have a great stay. There’s a huge choice of accommodation awaiting you. Enjoy your stay !­

Et pour les motards:

Accès facilement praticable par tout type de moto

Abri fermé et sécurisé pour stationner les motos

Sol stabilisé où la béquille ne peut pas s’enfoncer

Local aménagé pour ranger les équipements et offrant une possibilité de faire sécher les vêtements mouillés.

Draps et serviettes fournis ou en location (en gîte et gîte de groupe)

Outillage : Bombe de graisse (spéciale chaîne moto)

Nécessaire pour laver les visières de casques

Coordonnées du garage et concessionnaire le plus proche.

Circuits motos téléchargeables

Accès internet

Lave-linge, sèche-linge







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Les Ribeaupierre avaient choisi de diriger les anabaptistes vers la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines.

Jakob Amman

Jacob Amman, né le 12 février 1644 (?) à Erlenbach im Simmental, mort
avant 1730 (?) probablement à Zellwiller, Alsace, est l'un des
principaux leaders du mouvement religieux anabaptiste et fondateur du
mouvement amish qui s'est installé à Sainte-Marie-aux-Mines en 1696
venant de Suisse où ses disciples furent persécutés.


Jakob (ou Jacob) Amman serait né dans le canton de Berne. Sa date de
naissance exacte n'est pas connue. Certains pensent qu'il a vu le jour
le 12 février 1644. Il était le fils de Michael Amann et d'Anna Rupp.
Avant 1693, il aurait vécu à Steffisburg ou dans les environs, son
père faisant partie probablement déjà des anabaptistes d'Erlenbach.
Dans le cadre d'une vaste émigration des anabaptistes du canton de
Berne consécutive aux persécutions religieuses, il s'installe en
Alsace. À partir de 1696 il viendra s'installer à Sainte-Marie-aux-
Mines et signe le 27 février une pétition contre le service militaire
obligatoire. À force de travail, les Amish achètent de grands domaines
dans toute la vallée. Ils contrôlent la production de bois et
exploitent quelques moulins. Cette prospérité fait des jaloux. En
1712, Louis XIV promulgue un décret d'expulsion. Les Amish se
dispersent dans toute l'Alsace jusqu'en Lorraine. Jacob Amman reste
sans doute en Alsace, mais on perd sa trace. Sa date de décès n'est
pas précisément établie. Son nom figure sur une liste datée de 1708
que les Mennonites ont signée, à l'invitation des autorités d'Alsace.
Un document de 1730 mentionne que le baptême de sa fille a eu lieu
après son décès. Ces deux dates de 1708 et 1730 encadrent donc celle
de son décès. Il aurait été tailleur, comme son père.


Les différentes branches des anabaptistes
Les anabaptistes furent divisés en deux branches. Thomas Münzer et
Jean de Leyde firent partie de la première tendance qui ne reculait
pas devant l'usage des armes pour défendre leur religion. La seconde
branche tire son origine de Menno Simons qui détestait les armes. Les
disciples de Menno Simons refusèrent de combattre en 1534 pendant la
guerre en Westphalie et en Hollande. Les anabaptistes d'Alsace se
disent Mennonites de Menno Simons ou Mannistes de Felix Mantz (de),
l'un de leur martyrs. Les cantons de Berne et de Zurich ayant ordonné
à tous les anabaptistes de quitter le pays ou d'embrasser la religion
de Zwingli ou de Calvin, ils n'eurent pas d'autres choix que de
s'installer ailleurs. La plupart se réfugièrent dans le Palatinat ou
en Alsace sur les terres des Ribeaupierre peu avant la guerre des
Suédois. Il y avait des anabaptistes établis dans 16 villages du
diocèse de Strasbourg et ils formaient environ 62 familles. Les lieux
des assemblées se déroulèrent à Baldenheim, Ohnenheim, Jebsheim ou
Sainte-Marie-aux-Mines. Les anabaptistes d'Alsace se réunirent le 4
février 1660 à Ohnenheim pour délibérer de leur profession de foi. Au
cours de cette assemblée ils approuvèrent la profession de foi
allemande faite à Dordrecht en Hollande le 23 avril 1623 et la
profession de foi française à Amsterdam en 1630. Il existait alors
trois ministres de la communion anabaptistes établis à Mussig et à
Heidolsheim. Après la guerre de Trente Ans une autre vague
d'anabaptistes s'établit en Alsace, parmi lesquels Jakob Amman qui
allait fonder une nouvelle branche appelée Amish.

Les anabaptistes d'Alsace
Le royaume des anabaptistes avec Jean Boccold de Leyde originaire de
Munster s'est terminé avec la mort de ce dernier en 1535. Il avait
jeté les bases et principes de leur doctrine aux Pays-Bas. Quelques
uns se sont établis en Alsace et y ont conservé les coutumes et
traditions, notamment sur le baptême. Mais par un changement bien
étrange, cette secte, qui connut une origine factieuse et plutôt
brutale est devenue singulièrement pacifique. Les anabaptistes
considèrent comme un crime le fait de faire la guerre ou d'exercer des
emplois civils se rapportant à la guerre. Ils se consacrent
entièrement à l'agriculture, à l'industrie et à la charité. Ils
semblent vouloir faire à la société une sorte de réparation des
violences commises par leurs fondateurs.
Les anabaptistes d'Alsace suivent la doctrine des anabaptistes
pacifiques, appelés Mennonites, de Mennon, curé dans la Frise, qui
devenu évêque des anabaptistes après l'extinction de leur royaume de
Munster en prenant la succession, obtint en peu de temps un large écho
et essaima en Frise, Westphalie, en Gueldres, en Hollande, dans le
Brabant et en divers autres lieux. Les Mennonites se divisèrent
ensuite en différentes parties, surtout après le décès de Mennon. Ils
s'assemblèrent en synode en 1632 à Dordrecht pour essayer de se
rassembler en faisant un traité de paix qui fut signé par 151
Mennonites. Les anabaptistes d'Alsace souscrivirent en 1660 à la
confession de foi des anabaptistes flamands. Les anabaptistes d'Alsace
reconnaissent la divinité de Jésus-Christ et affirment qu'on ne doit
obéir ni à l'Église, ni aux conciles, ni à aucune assemblée
ecclésiastique. Ils rejettent le baptême des enfants. Ils soutiennent
qu'aucune Église ne doit se prévaloir d'être la vraie Église par
rapport aux autres. Ils reconnaissent la nécessité d'obéir aux
magistrats.
Des descriptions anciennes de leurs coutumes exposent : on n'accorde
le baptême qu'aux personnes d'un âge mur.
Ils demandent aux membres de renoncer à la magistrature et qu'ils
renoncent à tout faste et à toute la pompe de Satan.
Le prosélyte doit être digne pour admis au rang des frères.
Les anabaptistes d'Alsace reçoivent la cène deux fois l'an. C'est dans
un poêle d'un ancien, qui sert alors de réfectoire, que l'on se
rassemble pour participer aux mystères. La cérémonie commence par la
lecture de l'Évangile en langue vulgaire. Un des assistants fait
ensuite un sermon puis on va porter à chacun des frères un morceau de
pain. Tous le reçoivent dans leurs mains, qu'ils tiennent tendues,
tandis que le prédicateur prononce « Prenez, mes frères, mangez et
annoncez la mort du Seigneur ». Tous mangent alors le pain. L'ancien
va ensuite de rang en rang avec sa coupe, et le prédicateur dit : «
Buvez au nom du Christ, en mémoire de sa mort ». Tous boivent alors
dans le calice et demeurent ensuite dans une sorte d'extase, dont ils
ne sont tirés que par les exhortations du prédicateur, qui leur
explique les effets que doit produire en eux le mystère auquel ils
participent.
Les anabaptistes n'ont guère d'autres exercice de religion que la
réception de la cène. Quand il y a dans le village plusieurs familles,
ils se rassemblent les dimanches dans l'une ou l'autre maison, pour y
faire entendre des sermons, sans ordre du jour ou préparation.
Les anabaptistes habitent toujours à la campagne, dans les terres des
seigneurs, qui trouvent leur intérêt à leur donner des fermes parce
qu'ils rendent toujours aux propriétaires plus que ce que leur aurait
produit un fermier ordinaire.
Les mariages ne sont pas pour eux un centre d'intérêt particulier. On
ne rencontre aucune différence de règlementation à ce sujet par
rapport aux autres sectes anabaptistes.
On ne punit chez les anabaptistes d'Alsace les infractions que par des
peines spirituelles, telles que l'interdiction d'assister à la cène.
Les anabaptistes d'Alsace rejettent les principes rigides de Calvin
adoptés par la plupart des réformateurs, et suivent à peu près les
règles radoucies que les luthériens ont pris de Melanchthon.
Les anabaptistes portent la barbe, leurs souliers sont sans boucles et
leurs habits sans boutons.
Ils semblent rechercher avant tout les coins les plus reculés des
massifs vosgiens.


Constitution du groupe amish en Alsace

En 1693, Jakob Amman se brouille avec Hans Reist et Benoît Schneider,
autres leaders du mouvement anabaptiste suisse sur ce qu'il considère
comme un manquement de la discipline de l'ensemble de la congrégation
mennonite. Pour illustrer son propos il avance le fait que des membres
de la secte anabaptiste ont été baptisés après avoir quitté la
communauté. En 1693, après des désaccords entre Hans Reist et Jakob
Amman, les disciples de ce dernier quittent la communauté des
anabaptistes suisses et fondent un nouveau mouvement qui prendra le
nom de Amish. Le mouvement anabaptiste se sépare en deux composantes :
les mennonites plutôt modernistes et intégrés, et les Amish, plus
conservateurs.
En 1693, Jakob Amman entame une vaste réflexion sur la discipline dans
l'Église et la pratique du lavement des pieds. Il parvint à
transmettre ses convictions à son entourage. C'est après son arrivée
dans le Val de Lièpvre que le schisme du "Patriarche" fut consommé.
De 1694 à 1696, une soixantaine de nouvelles familles s'installèrent
dans la vallée de Sainte Marie-aux-Mines. En peu de temps, elles
formèrent un quart de la population. Les Ribeaupierre avaient choisi,
semble-t-il, de diriger le flux des anabaptistes vers la vallées de
Sainte-Marie-aux-Mines. Ils s'installèrent chez différents habitants
de la vallée. Cette arrivée massive de Bernois bouleversa l'équilibre
confessionnel, alors que l'administration française tentait de
favoriser la religion catholique, alors religion d'État. Le berceau de
la majorité des anabaptistes de Sainte Marie-aux-Mines est Steffisburg
ou les proches environs.
Avant de se rendre en Alsace, Jakob Amman était vraisemblablement
ministre à Steffisburg ou dans les alentours. Amman a été fortement
influencé par les croyances des mennonites néerlandais qui ont
institué le lavement des pieds deux fois l'an dans le cadre de la
cène, pratique qui a été abandonnée par la communauté suisse. Il a
également instauré l'obligation de la cène deux fois par an au lieu
d'une fois comme cela était exigé par la communauté des anabaptistes
suisses. Plus tard au cours de son existence, Jakob Amman est venu à
regretter le schisme et a tenté de renouer les contacts avec le
mouvement anabaptiste suisse, apparemment sans succès.
La plupart des Amish sont restés en Europe jusque vers la Révolution,
alors que les mennonites dans leur ensemble s'installèrent en
Amérique. Par la suite une partie de la communauté amish encore en
Europe a rejoint la communauté des anabaptistes aux États-Unis.


Itinéraire de Jacob Amman

Les Ribeaupierre avaient accueilli de nombreux anabaptistes à la fin
de la guerre de Trente Ans. Ils feront souche dans des villages
dépendant des seigneurs de Ribeaupierre en Alsace dont Heidolsheim,
village situé près d'Ohnenheim non loin de Sélestat ou encore
Jebsheim. Le village d'Ohnenheim occupait à cette époque plus de la
moitié de la population anabaptiste. Ce n'est qu'à partir de 1693 que
les réfugiés du canton de Berne se fixent massivement à Sainte-Marie-
aux-Mines en se réfugiant un peu dans les fermes à l'écart de la
ville. Son surnom, Amy, devient son nom familièrement employé par la
communauté amish de Sainte Marie-aux-Mines.
Auparavant on trouve leur trace dans la plaine d'Alsace dans les
fermes et moulins des seigneurs qui leur avaient été confiés. Au
moment du schisme, il existait cinquante-deux familles anabaptistes
dans la plaine et dix dans la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines. Ses
compagnons du début, Hans Bachmann et Jacob Kleiner se réfugièrent
dans la plaine d'Alsace et furent appréciés par les seigneurs de
Ribeaupierre. Au décès de Michel Amme le village catholique
d'Heidolshem refusa son inhumation car il était étranger et
anabaptiste de surcroît ; sa dépouille fut transportée à Baldenheim à
cinq kilomètres du lieu. On peut donc penser qu'après la mort de son
père, Jacob Amman se rendit à Sainte-Marie-aux-Mines où il se fixa
dans le hameau de la Petite-Lièpvre et où il demeura jusqu'en 1712.


L'expulsion des anabaptistes d'Alsace

En 1712, M. de la Houssaye, intendant d'Alsace reçoit un ordre
d'expulsion de Louis XIV qui demande le départ de tous les
anabaptistes d'Alsace, mais cet ordre fut imparfaitement appliqué. Il
écrivit le 9 septembre 1712, aux baillis, de prévenir tous ceux qui
sont dans leurs bailliages.
Malgré ces avertissements, souvent réitérés, une partie des
anabaptistes restèrent en Alsace.
M. de Harlay, intendant lui aussi signalait le 13 octobre 1727 aux
baillis, de lui envoyer un état aussi précis que possible de tous ceux
qui résident encore dans leurs districts, et de lui indiquer les
occupations et les commerces qu'ils entretiennent.
Sur les états des anabaptistes d'Alsace adressés le 24 novembre 1727 à
la cour par le maréchal Du Bourg, commandant en chef d'Alsace, et par
M. de Harlat, intendant, d'Angervilliers, ministre et secrétaire
d'État, écrivit le 7 juin 1728 au premier : « que sur le compte-rendu
du roi, sa Majesté a bien voulu, quant à présent, et pour ne point
faire trop de peine à plusieurs personnes de considération, auxquelles
ils appartiennent, ne pas se porter à les faire chasser de province,
comme a règle l'exige, à condition cependant que le nombre reste
stable. Lorsque les enfants auront atteint l'âge de raison, les pères
et mères sont tenus de les envoyer hors du royaume, sous peine pour
ceux qui contreviennent aux règles, d'être chassés à leur tour ».
Malgré ces lettres, les anabaptistes vont présenter un mémoire auprès
du duc de Choiseul, ministre et secrétaire d'État, tendant à obtenir
une dérogation pour l'Alsace et d'être exemptés de la prestation du
serment de justice dans sa forme ordinaire.
Ce ministre renvoyant ce mémoire à M. de Blair, lui écrivit le 6 avril
1766, une lettre dans laquelle il rejette la demande, arguant du fait
que cette religion n'a pas fait partie des arrangements adoptés par
les traités de Westphalie du 24 octobre 1648 qui rattachait l'Alsace à
la France.
Le duc de Choiseul écrivit le 9 septembre 1766, une seconde lettre,
dans laquelle il dit que le roi, non seulement a rejeté la requête des
anabaptistes d'Alsace, mais qu'il le charge de faire savoir que s'ils
s'avisent de tenter pareilles démarches et de ne pas rester discrets,
ils se mettraient dans le cas d'être expulsés du royaume.
Cette décision n'a cependant pas découragé certains anabaptistes,
l'attachement à leur foi étant plus fort que leur soumission.
Cette loi ne leur permet en effet que de répondre oui sur le
formulaire du serment proposé par le juge et leur défend de lever la
main, parce qu'ils croient que ce serait provoquer Dieu, ce qui
serait, selon eux, une impiété plus grande encore à faire suspecter
leur foi.
C'est en fonction de ce non-respect de la loi qu'un certain Jacques
Frey, anabaptiste demeurant à Durrenentzen fut assigné à comparaître
devant le commissaire du Conseil Souverain d'Alsace pour déposer comme
témoin dans une enquête auquel il refusa de prêter serment.
Persistant dans son refus, un arrêt du procureur général du roi le
condamna au bannissement perpétuel et à une amende de 10 livres. Le
premier président ayant rendu compte de cet arrêt à M. le duc de
Choiseul, celui répondit le 10 mars 1770 que Sa Majesté avait
entièrement approuvé les motifs et les dispositions de l'arrêt rendu
et qu'elle avait déclaré que son intention était que les anabaptistes
ne pussent, sous quelque prétexte que ce fut, être dispensés de
l'exécution des lois générales du royaume en matière de serment.
Les anabaptistes, dans les paroisses où ils se trouvent, doivent payer
aux curés catholiques les droits de mariage, de sépulture, et autres
dépenses incombant aux catholiques.
Ainsi ils contribuent pour leur part aux frais de la paroisse, dont la
répartition est faite à l'ensemble des paroissiens qui sont
notamment : l'entretien de la tour, de la nef et du cimetière de
l'église paroissiale.
Ils sont aussi obligés en vertu d'un arrêt du Conseil souverain du 27
septembre 1747 de payer la rétribution que tous les paroissiens sont
tenus de fournir au maître d'école, quoique, suivant les préceptes de
leur religion, ils ne puissent y envoyer leurs enfants.


Nombre des anabaptistes en Alsace en 1685

Les lieux où ils étaient implantés et le nombre de ménages figurent
dans le tableau ci-dessous13. Après le schisme des Amish, la grande
partie des anabaptistes d'Alsace se rangèrent sous la bannière de
Jacob Amman.

Ville ou village Feux ou ménages
Artolsheim 1
Baldenheim 8 lieu d'assemblée
Mussig 4
Heidolsheim 4
Bœsenbiesen (Bessenbiessen) 2
Ohnenheim 9 lieu d'assemblée
Mackenheim (Maggenheim) 2
Elsenheim 1
Grussenheim 1
Jebsheim 7 lieu d'assemblée
Kunheim (Kuenenheim) 4
Wihr-au-Val 3
Ostheim 1
Dinsheim-sur-Bruche 4
Illhaeusern 1
Sainte-Marie-aux-Mines 10 lieu d'assemblée
Total 62

Il semble aussi qu'il y avait quelques anabaptistes à Neuf-Brisach et
d'autres s'établirent au Climont où l'on peut encore apercevoir un
ancien cimetière en friche où ils reposent à côté de tombes plus
récentes.